Parce que le cinéma lui a ouvert les portes du rêve, et donc de l’exquise liberté. Parce que le cinéma lui a fait entrevoir des mondes, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, de l’infiniment sombre à l’infiniment lumineux. Parce que le cinéma lui a d’abord tendu un miroir, déformant mais révélateur. Parce qu’ensuite, il l’a traversé. Parce que le cinéma, ce satané lapin blanc, lui a fait rencontrer, sur son chemin, la musique, la peinture, la sculpture, les sciences humaines,… l’Autre ? Parce qu’un jour il a lu que « le cinéma est une amélioration de la vie » – mais ça, il ne le comprendrait que plus tard -, il se devait bien de lui rendre (un peu) la monnaie de sa pièce.

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