Cannes – jour 5 : la guerre, encore
Il fallait donc un premier scandale cannois. Non pas un film mauvais, lourd ou maladroit (le défaut de qualité se critique et se pardonne), mais une odieuse manœuvre mercantile pour servir un sujet politique brûlant sur le froid plateau du glamour. Nous parlons ici des Filles du soleil d’Eva Husson. Et nous nous demandons un peu si Thierry Frémaux ne l’a pas sélectionné en compétition par mesquinerie, pour embarrasser en…