KURSK, l’insoutenable pesanteur de l’être
Plutôt éloigné de ses sujets de prédilections, Thomas Vinterberg s’essaye au film de guerre en amenant avec lui la palette d’émotions qui a fait le succès de ses précédents films (Festen, La Chasse…). A la fois familier et inattendu. Un jour de l’été 2000, 118 hommes embarqués à bord du sous-marin russe K-141 périssent au fond de la mer de Barens. Alors que l’état major aurait probablement préféré limiter la…