TALAL SELHAMI : « J’ai vraiment poussé le curseur jusqu’au bout en m’interdisant toute forme d’exotisme »
L’histoire est connue, le film de genre en France a du mal à faire sa place, voire même simplement à exister aux yeux des financiers et institutions. D’autant plus lorsqu’on parle d’une approche du fantastique plus traditionnelle où le propos ne s’érige pas de manière ostentatoire mais s’instille plutôt à travers une histoire et un imaginaire visuel. Talal Selhami est l’un des représentants de ce cinéma-là. Après le prometteur Mirages,…