Ulysse et Mona, malheureux qui comme les pierres
Le film avec Eric Cantona est devenu un genre en soi, souvent garant d’une gravité sur la forme comme sur le fond, tant Canto semble avoir à cœur de ne pas paraître superficiel. Dans Ulysse et Mona de Sébastien Betbeder, il continue de caver le sillon de l’artiste torturé et dépressif, qui semble être l’unique argument d’une oeuvre qui reste pourtant bien creuse. S’il existe un bingo du film d’auteur sérieux,…